Pour la 2eme année consécutive, LSE s’est chargé de de la technique sur cette fête nationale.
Poste : Chef de projet – Light designer







À travers une mise en scène spectaculaire et immersive associant près d’une centaine d’artistes et de figurants à des projections sur le Mardasson, magnifiées par des effets pyrotechniques grandioses, ce show conçu par Luc Petit constitue une ode poignante aux héros de la Bataille des Ardennes.
Un rendez-vous à la mesure du devoir de mémoire qu’impose la commémoration de cette page cruciale de l’histoire, évoquée à travers le destin de cinq jeunes Texans plongés dans l’enfer de l’hiver 44. Un hommage vibrant à ceux qui sont tombés autour de Bastogne et aux vétérans qui ont écrit et façonné notre histoire contemporaine.
Client : Luc Petit Creation
Poste : Chef de projet – Light designer – Light operator














Le ciel de Riyad s’est transformé en théâtre d’une chorégraphie lumineuse.
Durant tout le festival Noor, des lasers ont jailli des gratte-ciel les plus emblématiques de la ville, le long de l’avenue du Roi Fahd : le Kingdom Centre, la tour Faisaliah et la tour Majdoul, reliés entre eux par des faisceaux de lumière.
LSE a assuré l’installation et la programmation complètes des lumières et des lasers dans toute la ville, ainsi que la synchronisation et le contrôle sans fil du spectacle entre chaque gratte-ciel.
Cette œuvre artistique a été couronnée par le Guinness World Records du plus grand spectacle laser (surface couverte) et de la plus longue distance parcourue par un faisceau laser, soit plus de 6,01 km.








Une nouvelle fois, LSE est en charge de la production complète de ce show.
Sur une distance de 3.5km, le public a été emmerveillé par un show complet comprenant du son, de la vidéo, des drones lumières, des drones laser, de la lumière, de la vidéo, un feu d’artifice, des écrans d’eau,…
Poste : chef de chantier – light designer – light operator








En suivant le parcours de personnages emblématiques et grâce à la participation de plus de 120 figurants, les 30 000 spectateurs présents lors de la soirée ont pu plonger dans la bataille des Ardennes, de l’enfer de cet hiver 44-45 à la guerre froide et jusqu’à la chute du mur de Berlin.
Des tableaux de feu et de lumière ont fait flamboyer le Mardasson tandis que de la neige virevoltait au dessus du public. Devant lui se jouaient les histoires croisées de deux soldats, américain et allemand, d’une infirmière et d’une petite fille donnant ainsi une approche humaine à cette cruelle bataille.
Ce spectacle intitulé « Les Routes de Liberté » a ensuite fait place à l’espoir lors de scènes poétiques, mêlant danse et ballets aériens, avant d’offrir un final magistral rassemblant tous les clans et symbolisant l’union des peuples et celle de l’Europe.
Des images pour se souvenir.
Des mots pour comprendre.
Une fresque vivante et monumentale pour ne jamais oublier.













La Grande Cloche ne sonne plus.
Quel drame pour le Sonneur dont la mission est d’annoncer l’arrivée de Noël. Il lui faut absolument trouver une solution au plus vite pour sauver Noël.
L’aventure vous emmène, accompagné du Sonneur, à la rencontre de personnages atypiques et mystérieux qui vous plongent dans une aventure rocambolesque à la recherche du son de la Cloche de Noël.
Entre les boîtes à musique, les automates et les carillons, Luc PETIT et Michel TEHEUX emmènent les spectateurs dans une spirale audiovisuelle féérique pleine de poésie.
De la magie, des illusions, de l’humour, de la danse, le tout mis en scène avec brio pour régaler les yeux et les oreilles. Une odyssée remplie d’espoir qui plonge le public dans l’innocence de l’enfance, guidée par les cliquetis gracieux des percussions célestes de Noël.
Pour cette première aventure créative aux côtés de Luc Petit, j’ai eu la chance de façonner l’univers lumineux qui accompagne Les Sonneurs de Noël. Dès les premiers échanges, il s’est agi de trouver la juste émotion, la couleur qui raconte, l’éclat qui souligne un geste ou l’ombre qui laisse place au mystère.
Mon travail s’est construit comme une exploration : comment faire vibrer la lumière au rythme de la musique ? Comment envelopper les artistes d’une aura chaleureuse, festive ou féérique selon les tableaux ? Chaque scène a été pensée comme une petite histoire en soi, un fragment de magie à révéler délicatement.
La programmation lumière s’est faite dans ce même esprit de sensibilité et de précision. Cue après cue, j’ai cherché à créer une respiration visuelle, des transitions qui ne se remarquent pas mais qui se ressentent, des accents lumineux qui accompagnent les émotions sans jamais les imposer.
Travailler avec les équipes artistiques et techniques a permis de tisser un véritable dialogue entre les intentions du metteur en scène, l’énergie des interprètes et la poésie que peut offrir la lumière. Cette collaboration m’a offert un espace où la créativité pouvait s’exprimer pleinement, au service de l’émerveillement propre aux univers de Luc Petit.
Cette première expérience commune marque pour moi le début d’un chemin artistique partagé, nourri d’inspiration, d’écoute et d’une envie commune : faire naître la magie.






















